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ça vous dirait un ptit concours de créations? (81)
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Turbulette pirate, deuxième du nom! (56)
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Turbulette japonisante... le patron et le tuto!!! (55)
La machine à Nabou pour tirer l'heureux gagnant au sort est arrivée! (52)
Turbulette poisson! (50)
Antonine ... ou le cauchemar de la couturière !! (47)
Tour de lit pour compter les moutons! (46)
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lundi 29 juin 2009
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mardi 9 juin 2009
lundi 8 juin 2009
dimanche 7 juin 2009
carrément passionnant mais technique
- Respect des règles de construction parasismique (22/10/2007 publié dans : Droit de la construction )
Petite information pour nos amis réunionnais (et l’un d’eux en particulier…) : publié quelques jours avant l’entrée en vigueur de la réforme des autorisations d’urbansime issue de l’ordonnance du 8 décembre 2005 et de son ... - Le projet de loi de finances pour 2008 prévoit de relever le taux dimposition sur la cession de titres de sociétés à prépondérance immobilière (28/09/2007 publié dans : Investissement immobilier )
Le projet de loi de finances pour 2008 contient une mesure défavorable pour les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés et détenant des titres de sociétés à prépondérance immobilière (type ... - Nouveaux formulaires tenant compte des procédures d'autorisation de travaux dans les ERP et les IGH (28/09/2007 publié dans : Droit de l'urbanisme )
Les formulaires applicables à compter du 1er octobre 2007 sont modifiés pour tenir compte de la nouvelle procédure d'autorisation des travaux dans les établissements recevant du public et les immeubles de grande hauteur Déjà publiés au JO du 21 ...
samedi 6 juin 2009
jeudi 4 juin 2009
Enfant
Quand je me relis, il me semble entendre un enfant. Lire une enfant. Quelque chose qui remonte à l'enfance cloche avec Véra. Il faut que je prenne conscience de cela pour sortir du cercle vicieux.
mercredi 3 juin 2009
Le savoir, un idole?
Je n'ai lu ce billet qu'en diagonale, hélas, mais il est très intéressant dans son analyse d'un discours du pape.
Suite
Après une discussion au sujet de Véra, je la ressens tout à coup comme une paumée loufoque et me dis que je dois rester sur cette impression, que j'ai déjà eu.
Que chacune d'entre nous reste dans sa vie, sans trop savoir ce que fait l'autre et ça sera bien.
Que chacune d'entre nous reste dans sa vie, sans trop savoir ce que fait l'autre et ça sera bien.
samedi 30 mai 2009
jeudi 28 mai 2009
mercredi 27 mai 2009
De nouveau préoccupée par Véra.
Car je crains sa colère et ses reproches.
Cela implique que je me sens coupable.
Et en effet, je ne l'apprécie pas beaucoup. Je ne cherche pas à être proche d'elle. Le mieux serait de ne pas prétendre l'être, et de reconnaître des erreurs involontaires.
Cela implique que je me sens coupable.
Et en effet, je ne l'apprécie pas beaucoup. Je ne cherche pas à être proche d'elle. Le mieux serait de ne pas prétendre l'être, et de reconnaître des erreurs involontaires.
mardi 26 mai 2009
dimanche 17 mai 2009
mardi 12 mai 2009
Tendresse ?
Je me pose à nouveau une certaine question.
Quand une personne comme véra accumule les malheures et les problèmes, on peut la classer dans la catégorie des victimes et des apuvres gens. Elle est aussi peu responsable de tout ce qui lui arrive qu'une personne frappée, par exemple, par la sclérose en plaque.
Mais une personne qui a la sclérose en plaque peut être sympathique, intellectuelle, pleine d'humour ou agressive : cela dépend. Or, véra, dans ses rapports avec moi, a toujours été systématiquement odieuse et agressive, attachée, entre autre, à me prendre end éfaut sur toutes sortes de choses. Elle me prenait end éfaut, ou croyait le faire, et courait me dénoncer à l'autorité, en l'occurrence, pendant longtemps, ma mère. Celle-ci me faisait des reporches plus ou moins vifs selon le "manquement au règle" que j'avais commis, et sa certitude de mon erreur. En effet, aprfois, les reproches de Véra étaient tirés par les cheveux et ma mère n'était pas trop sûre de ce que j'avais fait. Elle n'osait donc pas me faire forcément des reproches et des scènes quand elle n'était pas sûre que j'avais vraiment et délibérément transgressé nos règles de vie. Donc, véra, lorsque ma mère ne me faisait pas de grandes scènes pour une "faute" qu'elle avait dénoncé, était folle de colère et reprochait à ma mère son indulgence envers moi et son favoristime en ma faveur. Cela peinait ma mère. Au fil du temps, j'ai appris à ne donner prise à aucune critique, à ne donner aucune infos sur moi, à avoir l'air d'une sainte nitouche irréprochable. C'est ce que je fais en ce moment, par ex, dans mes rares rapports avec véra, je parle toujours avec gaieté de ma vie, je ne suis jamais fatiguée, je ne me pose aucune question, tout va bien, etc : ma vie, c'est la Petite Maison dans la Prairie.
Tout ça pour dire qu'au delà de la "tendresse" que je peux avoir envers une personne systématiquement malheureuse, car c'est le cas, je dois aussi être méfiante car cette personne "victime" peut aussi devenir, et a longtemps été, un "bourreau", sans exagérer, une personne qui m'a fait vivre sur le grill pendant des années, en menaçant systématiquement de me faire punir ou engueuler, et en y réussissant parfois ; et en infléchissant, par des remarques et des critiques systématiques et répétitives, l'image que mon entourage se faisait de moi. Je dois donc rester prudente. Et plus que jamais, continuer ma méthode "petite maison dans la prairie".
Quand une personne comme véra accumule les malheures et les problèmes, on peut la classer dans la catégorie des victimes et des apuvres gens. Elle est aussi peu responsable de tout ce qui lui arrive qu'une personne frappée, par exemple, par la sclérose en plaque.
Mais une personne qui a la sclérose en plaque peut être sympathique, intellectuelle, pleine d'humour ou agressive : cela dépend. Or, véra, dans ses rapports avec moi, a toujours été systématiquement odieuse et agressive, attachée, entre autre, à me prendre end éfaut sur toutes sortes de choses. Elle me prenait end éfaut, ou croyait le faire, et courait me dénoncer à l'autorité, en l'occurrence, pendant longtemps, ma mère. Celle-ci me faisait des reporches plus ou moins vifs selon le "manquement au règle" que j'avais commis, et sa certitude de mon erreur. En effet, aprfois, les reproches de Véra étaient tirés par les cheveux et ma mère n'était pas trop sûre de ce que j'avais fait. Elle n'osait donc pas me faire forcément des reproches et des scènes quand elle n'était pas sûre que j'avais vraiment et délibérément transgressé nos règles de vie. Donc, véra, lorsque ma mère ne me faisait pas de grandes scènes pour une "faute" qu'elle avait dénoncé, était folle de colère et reprochait à ma mère son indulgence envers moi et son favoristime en ma faveur. Cela peinait ma mère. Au fil du temps, j'ai appris à ne donner prise à aucune critique, à ne donner aucune infos sur moi, à avoir l'air d'une sainte nitouche irréprochable. C'est ce que je fais en ce moment, par ex, dans mes rares rapports avec véra, je parle toujours avec gaieté de ma vie, je ne suis jamais fatiguée, je ne me pose aucune question, tout va bien, etc : ma vie, c'est la Petite Maison dans la Prairie.
Tout ça pour dire qu'au delà de la "tendresse" que je peux avoir envers une personne systématiquement malheureuse, car c'est le cas, je dois aussi être méfiante car cette personne "victime" peut aussi devenir, et a longtemps été, un "bourreau", sans exagérer, une personne qui m'a fait vivre sur le grill pendant des années, en menaçant systématiquement de me faire punir ou engueuler, et en y réussissant parfois ; et en infléchissant, par des remarques et des critiques systématiques et répétitives, l'image que mon entourage se faisait de moi. Je dois donc rester prudente. Et plus que jamais, continuer ma méthode "petite maison dans la prairie".
dimanche 3 mai 2009
Satisfaction
Hier, en pensant à Véra, j'ai non sans satisfaction ressenti une grande tendresse pour elle et ses malheurs répétés.
Attention : je ne suis pas aveugle sur la méchanceté dont elle a toujours fait preuve envers moi, mais tout d'un coup j'ai pu percevoir en moi-même sa tristesse et sa vison négative d'elle-même, et du fait, j'ai compris qu'elle me voit toujours comme super forte par rapport à elle.
Il est facile de la comprendre intellectuellement ; mais ressentir sincèrement sa détresse, je n'y parviens que rarement. Mise en sa présence, c'est surtout son agressivité et ses paroles insultantes ou lourdes de sens qui me frappent. Et ensuite, c'est surtout de cela dont je me souviens.
Quand il s'agit d'une personne extérieure, qui est agressive, c'est plus facile. Il faut dire que ça m'est peu arrivé !!! Mais parfois j'ai eu des mots avec des élèves. Ou avec des parents. La plupart du temps, je me rends compte qu'ils étaient malheureux, ennuyés de la situation, incapable d'y faire face, et que ça els rendait nerveux. ça ne me facilitait pas la tâche forcément, le dialogue était compliqué, mais moi je sentais bien que je n'étais pas concernée, ou que je n'étais concernée qu'accessoirement.
En gestion de groupe, on nous demande d'être conscient que l'agressivité des gens n'est pas toujours, voire rarement, personnelle. La personne, malheureuse, déstabilisée, négative sur elle même, est agressive contre elle en fait ; mais elle prend un bouc émissaire.
ça ne signifie pas qu'il faille ne pas se soucier de cette agressivité ; si une personne vous prend comme bouc émissaire et braque sur vous un pistolet, il faut songer à sa propre sécurité. Il en va ainsi avec Véra : quand elle est blessante par ses mots, elle EST blessante ; mais je dois songer à resituer dans le cadre de sa détestation d'elle même cette agressivité, et la dépersonnaliser au maximum. Soit : ne pas me sentir concernée et immédiatement blessée. Pas facile car Véra, très sensible, très perceptive, sait où frapper pour faire mal. Mais tout de même. Je dois y songer, et me renforcer.
Hier, j'ai donc perçu sa détresse non pas intellectuellement, mais plus intimement. J'en suis contente. ça va m'aider dans mes rapports avec elle.
Attention : je ne suis pas aveugle sur la méchanceté dont elle a toujours fait preuve envers moi, mais tout d'un coup j'ai pu percevoir en moi-même sa tristesse et sa vison négative d'elle-même, et du fait, j'ai compris qu'elle me voit toujours comme super forte par rapport à elle.
Il est facile de la comprendre intellectuellement ; mais ressentir sincèrement sa détresse, je n'y parviens que rarement. Mise en sa présence, c'est surtout son agressivité et ses paroles insultantes ou lourdes de sens qui me frappent. Et ensuite, c'est surtout de cela dont je me souviens.
Quand il s'agit d'une personne extérieure, qui est agressive, c'est plus facile. Il faut dire que ça m'est peu arrivé !!! Mais parfois j'ai eu des mots avec des élèves. Ou avec des parents. La plupart du temps, je me rends compte qu'ils étaient malheureux, ennuyés de la situation, incapable d'y faire face, et que ça els rendait nerveux. ça ne me facilitait pas la tâche forcément, le dialogue était compliqué, mais moi je sentais bien que je n'étais pas concernée, ou que je n'étais concernée qu'accessoirement.
En gestion de groupe, on nous demande d'être conscient que l'agressivité des gens n'est pas toujours, voire rarement, personnelle. La personne, malheureuse, déstabilisée, négative sur elle même, est agressive contre elle en fait ; mais elle prend un bouc émissaire.
ça ne signifie pas qu'il faille ne pas se soucier de cette agressivité ; si une personne vous prend comme bouc émissaire et braque sur vous un pistolet, il faut songer à sa propre sécurité. Il en va ainsi avec Véra : quand elle est blessante par ses mots, elle EST blessante ; mais je dois songer à resituer dans le cadre de sa détestation d'elle même cette agressivité, et la dépersonnaliser au maximum. Soit : ne pas me sentir concernée et immédiatement blessée. Pas facile car Véra, très sensible, très perceptive, sait où frapper pour faire mal. Mais tout de même. Je dois y songer, et me renforcer.
Hier, j'ai donc perçu sa détresse non pas intellectuellement, mais plus intimement. J'en suis contente. ça va m'aider dans mes rapports avec elle.
mardi 28 avril 2009
Suite
Certes, la bienveillance est plus élégante, mais n'est-elle pas suicidaire? Ou dangereuse?
retour sur le passé.
Mille et une choses.
Une, parmi d'autres :
Je suis chez moi, avec une amie. Une fille sérieuse, bosseuse, une sportive, dans le privé, dans le public elle bosse dans une grosse boîte, cadre.
Dans le cadre de mon boulot, nous parlons cosmétique un moment. Nous ne sommes de grosses utilisatrices ni l'une ni l'autre. Surtout que ma copine a le teint mat. Donc le fond de teint, ce n'est pas pour elle, juste un peu de rouge à lèvres, parfois.
Vera est là, venue me rapporter quelque chose. Il est exceptionnel qu'elle soit chez moi. Elle mange un gâteau avec nous, du coup. Puis insiste pour écouter son émission de radio fétiche de l'époque ; elle allume la radio, nous fait taire : je suis chez moi, je reçois une amie, mais je dois me taire, pour écouter son émission, qui ne m'intéresse pas. Mon amie me fait signe de laisser tomber, et nous nous retrouvons dans la cuisine, tandis que Vera occupe le salon pendant deux heures, la durée de l'émission.
Puis elle rentre chez elle, et une heure après ma mère appelle.
- Tiens, c'est drôle ce que m'a dit Vera, je ne te voyais pas comme ça.
- pas comment?
- Il parait que toi et ton amie, vous avez eu une conversation de pétasses toute l'après midi. Elle non plus, je n'aurais jamais imaginé.
- Pardon? mais que veux tu dire?
- C'est ce qu'a dit Vera. Vous avez parlé de rouge à lèvres. Tu sais qu'elle a horreur de ce genre de conversation.
- On parlait de mon boulot. Enfin, on a parlé de rouge à lèvres, mais je suis sur un projet rouge à lèvres, et on a parél de l'inadéquation du projet pour des personnes comme nous. Je veux dire, on ne s'est pas demandé si tel rouge était mieux que tel autre.
- Pourquoi es-tu tout de suite agressive?
- Parce que ça m'énerve cette façon de déformer les choses.
- C'est vrai que quand Vera et toir aconter la même chose, ça a toujours l'air différent...
- Et d'ailleurs, si on avait parlé de rouges à lèvres, quelle importance?
- Mais absolument ! C'est juste que je ne t'avais jamais remarqué à ce point soucieuse de ton apparence.
Ce qui me met enr age, dans ce cas, comme dans les autres, c'est le fait que si je parlais de rouge à lèvres des heures, OK, on popurrait dire que je le fais, et cela ne serait pas une honte. mais je ne le fais pas, et le problème vient de ce qu'on me dit que je le fais, sur la foi, jamais remise en cause, des observations de Vera.
Avec mes parents, il en a toujours été ainsi. La situation s'est, un temps, modifiée, mais elle reprend son air ancien, depuis quelques mois.
Ces mensonges, qu'ils soient graves ou non, amènent à une distorsion de ma propre image. Je ne le supporte pas. Dans l'exemple que j'ai pris, il s'agissait de rouges à lèvres : pas grave. Mais j'ai déjà entendu Vera dire sur moi des choses beaucoup plus gênantes que cela. Beaucoup plus gênantes.
Et les autres ne s'en rendent pas compte.
retour sur le passé.
Mille et une choses.
Une, parmi d'autres :
Je suis chez moi, avec une amie. Une fille sérieuse, bosseuse, une sportive, dans le privé, dans le public elle bosse dans une grosse boîte, cadre.
Dans le cadre de mon boulot, nous parlons cosmétique un moment. Nous ne sommes de grosses utilisatrices ni l'une ni l'autre. Surtout que ma copine a le teint mat. Donc le fond de teint, ce n'est pas pour elle, juste un peu de rouge à lèvres, parfois.
Vera est là, venue me rapporter quelque chose. Il est exceptionnel qu'elle soit chez moi. Elle mange un gâteau avec nous, du coup. Puis insiste pour écouter son émission de radio fétiche de l'époque ; elle allume la radio, nous fait taire : je suis chez moi, je reçois une amie, mais je dois me taire, pour écouter son émission, qui ne m'intéresse pas. Mon amie me fait signe de laisser tomber, et nous nous retrouvons dans la cuisine, tandis que Vera occupe le salon pendant deux heures, la durée de l'émission.
Puis elle rentre chez elle, et une heure après ma mère appelle.
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- pas comment?
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- Pardon? mais que veux tu dire?
- C'est ce qu'a dit Vera. Vous avez parlé de rouge à lèvres. Tu sais qu'elle a horreur de ce genre de conversation.
- On parlait de mon boulot. Enfin, on a parlé de rouge à lèvres, mais je suis sur un projet rouge à lèvres, et on a parél de l'inadéquation du projet pour des personnes comme nous. Je veux dire, on ne s'est pas demandé si tel rouge était mieux que tel autre.
- Pourquoi es-tu tout de suite agressive?
- Parce que ça m'énerve cette façon de déformer les choses.
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- Et d'ailleurs, si on avait parlé de rouges à lèvres, quelle importance?
- Mais absolument ! C'est juste que je ne t'avais jamais remarqué à ce point soucieuse de ton apparence.
Ce qui me met enr age, dans ce cas, comme dans les autres, c'est le fait que si je parlais de rouge à lèvres des heures, OK, on popurrait dire que je le fais, et cela ne serait pas une honte. mais je ne le fais pas, et le problème vient de ce qu'on me dit que je le fais, sur la foi, jamais remise en cause, des observations de Vera.
Avec mes parents, il en a toujours été ainsi. La situation s'est, un temps, modifiée, mais elle reprend son air ancien, depuis quelques mois.
Ces mensonges, qu'ils soient graves ou non, amènent à une distorsion de ma propre image. Je ne le supporte pas. Dans l'exemple que j'ai pris, il s'agissait de rouges à lèvres : pas grave. Mais j'ai déjà entendu Vera dire sur moi des choses beaucoup plus gênantes que cela. Beaucoup plus gênantes.
Et les autres ne s'en rendent pas compte.
mardi 21 avril 2009
Cassandre
Dans le contexte qui me préoccupe, je suis Cassandre. Une catastrophe me paraît inéviotable, mais personne ne me croit.
Souci : trouver l'attitude. une attitude pas trop fausse qui me permettra de tenir.
Agréable surprise : relire le post d'hier me permet une distance. Formidable. Continuer.
Souci : trouver l'attitude. une attitude pas trop fausse qui me permettra de tenir.
Agréable surprise : relire le post d'hier me permet une distance. Formidable. Continuer.
Retour des intempéries
Je dois faire face à ce qui me blesse, tout simplement. Je suis triste car j'ai toujours été sous estimée, du moins je le sens ainsi. J'ai fait de mon mieux, ennfant et ado, pour faire les choses correctement, et mes parents ne m'en ont pas su gré. Aujourd'hui, ça recommence. Durant longtemps le comportement de V l'a coupé de mes parents et parentes, mais aujourd'hui elle s'en rapproche. Il me semble que malgré mes efforts, elle reprend sa palce comme si de rien n'était. Elle a rejeté les aprents, elle a été odieuse. Mais tout recommence tranquillement. Comme si ça n'avait pas eu lieu.
Peut-être devrais je trouver ça normal. Réfléchissons. je verrai son comportement, sonr ejet, j'aurai du penser "quel dommage qu'elle s'éloigne" et maintenant qu'elle revient je devais penser "ah, la voilà de retour, avec des sentiments plus classiques". Et je devrais être toute contente de ce retour de l'enfant prodigue.
Voyons les faits : je ne sens pas ça. Ce que je sens, c'est que j'ai toujours essayé d'être correcte, mais qu'on ne m'en sait pas gré, ma correction est normale, et nul ne fait reproche à Vera de ses attitudes passées. le passé est le passé. Je comprends bien cette attitude, en théorie, mais elle me brise le coeur en pratique.
Mais l'écrire me permet d'en être consciente. je devrais être dans la famille, dans le giron familial, et, avec un bon sourire, regarder revenir l'enfant pleine d'erreur : ça me composerait une attitude bienveillante. Au lieu de ça, je suis petite fille encore, fachée et triste. Je dois dire que je n'aime pas cette attitude infantile. La bienveillance est plus élégante.
Bon, déjà je comprends mon erreur. OK. Un plus.
Peut-être devrais je trouver ça normal. Réfléchissons. je verrai son comportement, sonr ejet, j'aurai du penser "quel dommage qu'elle s'éloigne" et maintenant qu'elle revient je devais penser "ah, la voilà de retour, avec des sentiments plus classiques". Et je devrais être toute contente de ce retour de l'enfant prodigue.
Voyons les faits : je ne sens pas ça. Ce que je sens, c'est que j'ai toujours essayé d'être correcte, mais qu'on ne m'en sait pas gré, ma correction est normale, et nul ne fait reproche à Vera de ses attitudes passées. le passé est le passé. Je comprends bien cette attitude, en théorie, mais elle me brise le coeur en pratique.
Mais l'écrire me permet d'en être consciente. je devrais être dans la famille, dans le giron familial, et, avec un bon sourire, regarder revenir l'enfant pleine d'erreur : ça me composerait une attitude bienveillante. Au lieu de ça, je suis petite fille encore, fachée et triste. Je dois dire que je n'aime pas cette attitude infantile. La bienveillance est plus élégante.
Bon, déjà je comprends mon erreur. OK. Un plus.
dimanche 19 avril 2009
samedi 18 avril 2009
Un
Suite à tout ça, je réfléchis et pour l'instant me sens plus tranquille. pour combien de temps? On verra.
Je me rends compte que j'espère toujours qu'entre moi et V, un choix sera fait. Que les autres prendront aprti pour moi, et ne traiteront v qu'avec une condescendance courtoise. Que dès qu'elle ouvrira la bouche, ils sursauteront, avec moi, de ses aneries. Il n'en est rien. dès que son comportement s'est de nouveau inscrit dans les normes de conventions sociales acceptables, ils ont tout oublié et se sont à nouveau tourné vers elle, en oubliant tout des évènements des dernières années. Pire, mon acharnement me fait un peu de tort : je semble inutilement, voire cruellement acharnée.
Du coup, je réalise d'autant mieux à quel point, en fait, nous étions loin d'une norme idéale. je sais bien que les normes c'est idiot et même sclérosant. mais il me semblait que nous avions des principes de vie, dans ma famille, acceptables. Mais je réalise que les miens ne sont pas superposables avec ceux de ma famille. Et je ne m'en étais jamais rendu compte.
Les principes de vie de ma famille me semblaient être le travail, par ex, et les efforts, pas spécifiquement liés à 'largent et à l'obtention d'une vie meilleure, non, mais liés simplement à l'effort et au principe du travail bien fait. Or, je me suis laissé passer pour une paresseuse, sans y prendre garde. Eton m'aime bien malgré ma paresse. Donc, le travail n'est pas une valeur. Je le réalise tout d'un coup. Du coup, les heures que V passe à user son temps devant la télé ou le PC sont déplorables, mais pas si dramatiques que cela. Si elle rangeait un peu les choses, ça serait même acceptable. En fait, glander, enfermée chez soi, toute la journée, est presque une chose normale. Si la maison était un peu plus en ordre, la chose serait normale.
A partir de là, tout part en vrille. Si être enfermée chez soi à ne rien faire est regrettable, mais pas le signe d'un désordre mental ptentiellement lourd de conséquence, tout s'en cahine. Si elle n'a pas d'amis, c'est regrettable, mais pas grave. Si elle ne parvient pas à faire un repas ou à allumer le fopur, c'est encore plus regrettable, mais voilà. En fait, ils regardent et déplorent toutes sortes de choses, chez V, mais détournent les yeux de la source de tous ceux maux. Une personne isolée, sans amis, incapable de garder un emploi, in capable de gérer un emploi du temps ou une activité, souvent agressive, malheureuse, tout cela est fort triste, mais la personne n'en demeure pas moins fréquentable. Pour qu'elle cesse de l'être, il faudra qu'elle les rejette.
Du coup, je réalise qu'ils ne me jetteront jamais non plus : je suis encore plus fréquentable. Je n'ai donc pas de souci à me faire pour moi.
Pourquoi donc me faire du souci? Par une sorte de vengeance. cette personne qui m'a tellement rendu malheureuse, je ne peux me résoudre à ce qu'elle soit si facilement acceptée parmi eux. Il me suffit pourtant de m'éloigner d'eux intérieurement.
Je me rends compte que j'espère toujours qu'entre moi et V, un choix sera fait. Que les autres prendront aprti pour moi, et ne traiteront v qu'avec une condescendance courtoise. Que dès qu'elle ouvrira la bouche, ils sursauteront, avec moi, de ses aneries. Il n'en est rien. dès que son comportement s'est de nouveau inscrit dans les normes de conventions sociales acceptables, ils ont tout oublié et se sont à nouveau tourné vers elle, en oubliant tout des évènements des dernières années. Pire, mon acharnement me fait un peu de tort : je semble inutilement, voire cruellement acharnée.
Du coup, je réalise d'autant mieux à quel point, en fait, nous étions loin d'une norme idéale. je sais bien que les normes c'est idiot et même sclérosant. mais il me semblait que nous avions des principes de vie, dans ma famille, acceptables. Mais je réalise que les miens ne sont pas superposables avec ceux de ma famille. Et je ne m'en étais jamais rendu compte.
Les principes de vie de ma famille me semblaient être le travail, par ex, et les efforts, pas spécifiquement liés à 'largent et à l'obtention d'une vie meilleure, non, mais liés simplement à l'effort et au principe du travail bien fait. Or, je me suis laissé passer pour une paresseuse, sans y prendre garde. Eton m'aime bien malgré ma paresse. Donc, le travail n'est pas une valeur. Je le réalise tout d'un coup. Du coup, les heures que V passe à user son temps devant la télé ou le PC sont déplorables, mais pas si dramatiques que cela. Si elle rangeait un peu les choses, ça serait même acceptable. En fait, glander, enfermée chez soi, toute la journée, est presque une chose normale. Si la maison était un peu plus en ordre, la chose serait normale.
A partir de là, tout part en vrille. Si être enfermée chez soi à ne rien faire est regrettable, mais pas le signe d'un désordre mental ptentiellement lourd de conséquence, tout s'en cahine. Si elle n'a pas d'amis, c'est regrettable, mais pas grave. Si elle ne parvient pas à faire un repas ou à allumer le fopur, c'est encore plus regrettable, mais voilà. En fait, ils regardent et déplorent toutes sortes de choses, chez V, mais détournent les yeux de la source de tous ceux maux. Une personne isolée, sans amis, incapable de garder un emploi, in capable de gérer un emploi du temps ou une activité, souvent agressive, malheureuse, tout cela est fort triste, mais la personne n'en demeure pas moins fréquentable. Pour qu'elle cesse de l'être, il faudra qu'elle les rejette.
Du coup, je réalise qu'ils ne me jetteront jamais non plus : je suis encore plus fréquentable. Je n'ai donc pas de souci à me faire pour moi.
Pourquoi donc me faire du souci? Par une sorte de vengeance. cette personne qui m'a tellement rendu malheureuse, je ne peux me résoudre à ce qu'elle soit si facilement acceptée parmi eux. Il me suffit pourtant de m'éloigner d'eux intérieurement.
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