vendredi 12 novembre 2010

Evidemment, il y a les poncifs du genre : les bêtes, araignées métalliques et préhistoricomophiques à la Starship Troopers qui sont le fait d'un complexe militaro-scientifico-industriel pas très au fait du principe de précaution, les « prenez soin de mon fils s'il m'arrive quelque chose » d'un père de famille éploré à une blonde temporairement survivante, dont on espère bien qu'elle ne fera pas qu'astiquer le carnet de notes du potentiel orphelin, qui ne panique d'ailleurs pas trop, vu qu'il est bien élevé... mais le tout torturé, trituré, bancal, et surtout s'achevant dans un jouissif « on n'a jamais l'air aussi con qu'en se persuadant à sa propre malédiction, tout en essayant de prendre les choses en mains » que The Mist vaut définitivement le détour. C'est amusant, tout ce bordel en ce moment, et les gens qui en ont marre tout ça parce qu'on aligne un peu la France sur le bon sens...

mardi 17 novembre 2009

dimanche 15 novembre 2009

samedi 14 novembre 2009

Comme il est difficile de se contrôler. je crpoyais être détachée de tout, je veux l'être mais il ne m'est pas donné, hélas, d'y aprvenir.

J'attends furieusement l'appel de deux personnes et je ne suis pas loin de les soupçonner de chercher à me faire souffrir car elles n'appellent pas.